D’Anna Gavalda – Compagnie Un Mot Une Voix

Théâtre – Ecole – Bricolage

L’histoire de Grégoire, un jeune garçon qui n’aime pas l’école.

À 13 ans, Grégoire était encore en 6ème. L’école lui causait des problèmes et ses parents se disputaient tout le temps, quand ils ne le disputaient pas, lui… Seul son grand-père Léon le comprenait, car tous les deux aimaient bricoler. Aujourd’hui, Grégoire est devenu parfumeur et c’est dans l’atelier de son grand-père qu’il nous raconte son histoire.

Comment motiver un enfant à la limite du décrochage scolaire ? Est-ce que l’école permet à un élève d’exprimer ses qualités autres que celles imposées par l’enseignement ? N’est-ce pas le bonheur de l’enfant qui prime avant tout ?

L’autrice Anna Gavalda ouvre un dialogue afin de trouver et cultiver le meilleur chez l’enfant. Mais c’est avant tout une magnifique histoire d’amour entre un grand-père et son petit-fils.

 

D'après l’œuvre d'Anna Gavalda. 
Mise en scène et jeu : Abdel Bouchama 
Collaboration : Jacques Maury. 
Captation vidéo : Gabriel Smaniatto 
Subventions : DRAC PACA, Région Sud, Ville d’Ollioules.
Avec le soutien de « Rouvrir le monde » (Méounes, 83)
 

© Melissa Magro
© Melissa Magro

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

ou le journal des frères Schiller

de Boulaem Sensal – Compagnie Les Asphodèle du Colibri

 

Théâtre contemporain – Histoire – Devoir de mémoire

 

Cette adaptation résonne comme un combat contre l’oubli, l’amnésie et le négationnisme, pour laisser place à la transmission de la mémoire.

Nés de mère Algérienne et de père Allemand, Rachel et Malrich sont élevés par un vieil oncle immigré dans une cité de banlieue parisienne, tandis que leurs parents restent dans leur village près de Sétif, en Algérie. Leur destin bascule en 1994, lorsque le GIA (Groupe islamique armé) y massacre une partie de la population, dont leurs parents. Pour les deux frères, le deuil va se doubler d’une douleur bien plus atroce : la révélation de qui fut réellement leur père durant la guerre…

Cette histoire relie trois réalités, à la fois dissemblables et proches : la Shoah, la guerre civile en Algérie et l’abandon croissant de la République dans les banlieues françaises.

 

Le Village de l’Allemand a été récompensé par plusieurs prix littéraires : Grand Prix RTL-LIRE 2008, Grand Prix SGDL du roman 2008, Prix Louis Guilloux 2008, Prix NESSIM HABIF 2008.

 

 

Sur une idée originale de Thierry Aurez. 
Mise en scène Luca Francheschi . 
Avec : Valerian Moutawé, Nicolas Moisy, Alexandra Nicolaisdis, Lysiane Clément, 
Samuel Camus, Frédéric Guittet. 
Création lumière : Samuel Bovet. 
Technique : Hana Rajoui. 
Production Compagnie Les Asphodèles du Colibri

 
© Arnaud-Emmanuel Veron
© Arnaud-Emmanuel Veron

un secret de Dieu qu’on a jamais su

d’après Marcel Pagnol – Compagnie Les Fautes de Frappe

 

Théâtre – Littérature – Jeunes amours 

 

Une histoire tragique et tendre où les personnages ne sont jamais là où on les attend.

Naïs est inspirée d’une nouvelle d’Émile Zola parue en 1883 intitulée Naïs Micoulin, que Marcel Pagnol a adaptée au cinéma en 1945. On y retrouve à la fois la puissance et la cruauté de Zola, enrobées de l’humour et de la poésie propres à Pagnol.

Toine, un bossu qui souffre de son handicap, est amoureux de Naïs, fille d’un paysan violent. Naïs, elle, est amoureuse de Frédéric, jeune homme issu d’une famille bourgeoise. L’été arrive et les jeunes amoureux se laissent aller à des plaisirs que leur condition sociale ne leur permet pas… C’est un monde de poésie qui s’ouvre devant nous. Tous ces personnages, aux caractères bien trempés, nous emportent dans un tourbillon de sentiments.

 

 

De Marcel Pagnol
Adaptation Arthur Cachia
Mise en scène Thierry Harcourt. 
Avec Arthur Cachia, Kevin Coquard, Clément Pellerin ou Simon Gabillet, Lydie Tison, Marie Wauquier et Patrick Zard'. 
Musiques Tazio Caputo
Lumières Thierry Harcourt
Costumes Françoise Berger Et Yamna Tison. 
Production : Compagnie Les Fautes De Frappe. 
Coproduction Black Bird Prod
Coréalisation et diffusion Le Lucernaire - Catherine Hérengt. 
Avec le soutien de l'Imprimerie Wauquier, Le Théatre De Ruelle-Sur-Touvre, Danielle Mazens et La Société Littéraire, Claire et Éric Pellerin Wilette, Antoine Échafaudage, François Wauqier, Cia Graphic et Nicolas Pagnol.
 

 
© Philippe Dayries
© Philippe Dayries

D’après Jean Racine – Compagnie Théâtre en Œuvre 

Théâtre – Cirque aérien – Littérature

Une création théâtrale aérienne, qui mêle alexandrins et arts du cirque.

La pièce Bérénice de Jean Racine est présentée comme le sommet de la tragédie classique. Elle fascine et enchante par sa langue sublime, par son dramatique triangle amoureux. Mais qu’en est-il du corps ? L’enjeu de la mise en scène de Jean-Yves Lazennec est de transposer la pièce grâce aux arts du cirque. Le mélange de la langue du XVIIe siècle et des corps suspendus donne un nouveau souffle à cette légendaire histoire d’amour.

Parmi les éléments de scénographie, on trouve des cordes et des structures métalliques constituant l’ossature d’un palais, ainsi qu’un piano à queue suspendu, à la fois antichambre, huis-clos ou instrument dont joue Bérénice.

 

Mise en scène : Jean-Yves Lazennec. 
Avec: Marion Soyer, Sébastien Bruas, Xavier Bernard Jaoul, Stéphane Norbert. 
Régie : Xavier Bernard Jaoul. 
Image et montage : Clément Soyer. 
Production déléguée : Cie Théâtre en Œuvre. 
Coproduction : CDN de Rouen et Théâtre de l’Arsenal. 
Co-réalisation : CDN de Vire, Théâtre de Vernon - SNA. 
Avec le soutien de la DRAC Normandie, la Région Normandie, la Comédie de Caen, l’Étable / Cie des Petits Champs, Festival Spring, Plateforme 2 Pôles Cirque en Normandie / La Brèche à Cherbourg et le Cirque-Théâtre d’Elbeuf. 
Spectacle co-produit et accompagné par le Quai des Arts, et accueillie en résidence en janvier 2025.
© JLZ
© JLZ

Sur des musiques de Ravel, Boulanger, Debussy et Poulenc

 

Spectacle musical – Piano – Féminisme 

 

« Si vous pouviez comprendre de quelle force et de quelle défaillance m’emplit ce que j’aime ! » – Colette

 

Paris à l’aube du XXe siècle : les grands salons parisiens donnent le ton d’une vie artistique intense où écrivains, compositeurs et peintres s’inspirent mutuellement.

C’est dans cette effervescence que les chemins de Ravel, Debussy, Boulanger et Poulenc vont croiser le destin extraordinaire d’une femme et artiste éprise de liberté : Colette. Une rencontre qui bouleversera le cours de leur vie et donnera naissance à des chefs -d’œuvre de la musique et de la littérature.

Le piano d’Aurélie Namont se fait l’écho des récits de la vie tumultueuse de Colette, interprétée par Amandine Thiriet à travers ses écrits et ses lettres. L’histoire d’une vie menée comme elle l’entend.

 

 

Aurélie Namont : piano, idée et direction artistique
Amandine Thiriet : comédienne 

 

 

 

(spectacle en français) 

d’Hervé Bazin 

Théâtre – Littérature – Relation mère & fils 

« La haine, beaucoup plus encore que l’amour, ça occupe ».

Dans Vipère au poing, Jean, dit Brasse-Bouillon, mène avec ses frères une guerre sans merci contre leur mère, une femme impitoyable et cruelle qu’ils ont surnommée Folcoche.

Ce témoignage vital et incendiaire dynamite les conventions traditionnelles de la relation parents-enfants. Entre fiction et autobiographie, Hervé Bazin écrit une sanglante partie d’échecs, où les membres d’une même famille sont des ennemis mortels. 

Le roman est porté au plateau par un acteur seul, alternant un jeu en immersion où il incarne les différents personnages, et une adresse directe au public. En allant à l’encontre de l’institution traditionnelle de l’amour filial et maternel, cette interprétation amène aussi à s’interroger sur le passage à l’âge adulte et l’influence des parents dans la construction de l’identité.

Texte : Hervé Bazin.
Adaptation : Victoria Ribeiro et Aurélien Houver
Mise en scène : Victoria Ribeiro. Avec Aurélien Houver.
Lumières : Idalio Guerreiro. Décor : Fabrice Cany. Costumes : Corinne Rossi
Production : Scène & Public et le théâtre du Ranelagh
 
 
(C) Bendumas
(C) Bendumas

 

Première partie : Socrate, roi des chameaux

d’après Friedrich Nietzsche – Compagnie Bleu 202

Théâtre – Cabaret – Philosophie

Un projet théâtral atypique qui fait se rencontrer la philosophie de Friedrich Nietzsche et le format d’un cabaret !

Cette création à la croisée des genres recoupe l’exigence d’une conférence académique et une atmosphère électrique et enivrante, faite de talons hauts et de gros coups de cymbale.

Installés dans le Hall du théâtre, les comédiens-musiciens y retracent l’histoire de la philosophie au regard de la pensée de Nietzsche, avec des musiques originales et des numéros burlesques.

Un spectacle atypique et festif qui s’adresse à tous, que l’on s’y connaisse en philosophie ou non !

 

Un projet de Guillaume Cardineau, Romain Valembois, Jonas Thierry et Benjamin Fagnot. 
Création musicale : Guillaume Cardineau, Jonas Thierry et Benjamin Fagnot. 
Scénographie : Julia Renaud
Production : Compagnie Bleu 202
Spectacle co-produit par le Quai des Arts. 

(C) QDA – résidence de création, février 2024

Deux spectacles de la Compagnie Théâtre en Anglais

 

“Le Quai en journée” – Théâtre – Biopic

Deux pièces de théâtre proposées en langue anglaise. 

Prisoner 46664 : Nelson Mandela

Nelson Mandela voulait changer l’Afrique du Sud. Au lieu de ça, il a changé le monde.
La pièce raconte l’histoire incroyable d’un homme qui n’a jamais perdu l’espoir que la justice puisse être ramenée en Afrique du Sud et que le système raciste de l’apartheid puisse être démantelé de façon pacifique.
C’est l’histoire d’un homme qui a terriblement souffert aux mains de l’Etat sud-africain, c’est l’histoire de sa famille, privée d’un père ou d’un mari pendant plus de 25 ans et de ses amis qui n’ont jamais cessé de croire en lui. C’est enfin l’histoire du monde, notre histoire, qui a été changée par son courage et ses convictions.

Jeudi 12 décembre à 10h 
Tarif C : de 4€ à 12€ 
Une rencontre avec les artistes sera proposée suite à la représentation 

 

 

Tired of giving in – the Rosa Parks’ story

Le choix d’une femme qui changea l’histoire des Etats Unis.
Nous sommes le 1er décembre 1955. Une femme noire nommée Rosa Parks s’installe dans un bus ségrégé, et elle refuse de céder son siège à un homme blanc. Grâce à cet acte de défiance, elle devient célèbre dans de nombreux pays. Mais en dehors de cet événement historique, ses engagements et son histoire demeurent peu connus du grand public.
Loin d’être une simple couturière, Rosa Parks a été une activiste de longue date, bien avant la fatidique journée du trajet en bus. La pièce Tired of giving in dévoile ainsi la vie de Rosa Parks, son militantisme pour les droits civiques dans les années 1950, dans un contexte de lois discriminatoires et ségrégationnistes.

Jeudi 12 décembre à 14h30 
Tarif C : de 4€ à 12€ 
Une rencontre avec les artistes sera proposée suite à la représentation 

 

Avec Meledeen JACOUBI, Williams BULAMBO, Mundey YOUNG, Guillaume CHARLIER, Prescilla AVOME
Textes - Sam Pinnell
Mise en scène - Lucille O’FLANAGAN
Régie - Davide DI LORENZO
Scénographie - David TUCK
Musique originale - Elisa LE CAM
Production : compagnie Théâtre en Anglais 
Prisonner 46664. ©Théâtre en Anglais
Tired of giving in. ©Théâtre en Anglais